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    Blade of spades
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    Messages : 176
    Date d'inscription : 03/04/2009

    Réécriture Empty Réécriture

    Message  Blade of spades Ven 10 Avr - 16:00

    Vous avez lu la lettre d'Ana ? Non ? Tant mieux.
    Sinon, pour ceux qui l'ont fait, malheureusement, je vous propose deux choix de défit :
    - Vous écrirez une lettre similaire à celle d'Ana, en veillant toutefois à défendre une cause contre l'anorexie.
    - Vous rédigerez une réponse, toujours contre l'anorexie.




    On dirait un sujet de Français Réécriture 8398
    Blade of spades
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    Messages : 176
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    Réécriture Empty Re: Réécriture

    Message  Blade of spades Ven 10 Avr - 16:01

    Voila pour moi ( prit sujet numéro 1)

    Salutation,

    Nous n’avons encore jamais étaient présentés, nous deux. Je me nomme Sophie. Pourtant, nous nous connaissons, un peu, car nous sommes une, mais parfois, nous sommes deux. Nous avons sans cesse des différents. A chaque fois, nos avis sont partagés.
    Pourtant, même après une grosse dispute, nous nous réconcilions toujours. Car si nous ne pardonnons pas à l’autre ses caprices, c’est que la vie se fini.
    Tu sais, généralement, c’est toi qui me fais du mal. Mais je te pardonne tout le temps. Je te pardonnerais tout ce que tu pourrais me faire, car j’ai confiance en toi. Que serait-on, sans la confiance des autres ?
    Comme ta famille, ou tes amis lors d’un examen, je serais toujours la pour t’épauler. Oh, non, je ne suis pas sans faille. Moi aussi je faibli. Mais je fais toujours mon possible pour être présente tous le temps de ta vie.

    Quand tu te fais mal, c’est aussi à moi que tu fais du mal. Je proteste toujours avec vigueur, car c’est pour te protéger. Je te comprends mieux que personne d’autre, mais c’est à peine si tu fais attention à moi. Pourtant, je ne suis pas offensé. Pas le moins du monde. Je t’aime, comme tu es, et pourtant, je suis incapable de te parler.
    Et oui, je ne parle pas, car ma voix est la tienne. Que dire de plus ? J’ai beau t’envoyer des messages, de plus en plus douloureux, des messages sous forme de sensation, mais tu ne m’écoute pas. Tu as tendu ton oreille à une autre, et tu m’oublie. Mais moi, je suis toujours la. Je suis cette petite voix qui s’éteint, cette flamme de bougie sous le vent, celle qui tente de te parler, et que l’autre que tu as choisit décrit comme une laideur.

    Je ne me trouve pas laide, et je ne te trouve pas laide non plus. Puisque nous sommes une. Mais c’est toi qui nous façonne, et tu ne te rends pas compte combien ton image devient hideuse. J’ai de plus en plus de mal à supporter tout cela, mais, à vrai dire, si je lutte encore alors que je ne demande qu’à sombrer, c’est parce que je le fais pour toi. Pour que personne d’autre ne t’oublie.

    Elle te dit que tes amis ne sont que des menteurs, tes parents aussi. Alors tu reste seule, mais moi je pense qu’elle a tord. Mais ce n’est que ce que je pense, hors, sa n’a pas d’importance pour toi. Plus d’importance. Mais je vais quand même parler, parce que sinon, je serais définitivement oublié. Peut être que tu m’écouteras un peu, même sans t’en rendre compte.
    Bien sur que tout le monde ment, au moins une fois. Mais de la à croire qu’ils mentent tous le temps… Tu as déjà eut des doutes, avant, sur ce qu’ils te disaient. N’a –tu jamais vu la lueur de sincérité dans leurs regards ? Pas une fois ? Est-ce que tu as seulement fait une seule fois attention au regard que te jette ton entourage ? Tu n’as jamais fait que voir ce qu’elle voulait que tu vois. Tu t’es sûrement déjà dit que les garçons ne te regardaient pas parce que tu étais grosse. Mais maintenant ? Qu’as-tu gagné ? Tous le monde te regardent, mais ce qu’il y a dans leurs regards n’est ni intérêt, ni chaleur. Ce n’est que dégout et pitié, peur et horreur.

    C’est vrai. Tu fais peur, maintenant que l’autre t’a transformé. Elle a écrit une lettre, et tu as lut. Ou l’as tu déjà trouvé, cet écrit ? Nous ne savons plus, ni l’une, ni l’autre. Sûrement sur internet. Quoi qu’il en soit, tu l’as crut, et tu es depuis sous son emprise. Moi, je n’ai peut être pas fais ce qu’il fallait. Alors j’écris aussi une lettre, en espérant que tu la liras aussi, et qu’elle aura un même effet sur toi : la libération.
    Tu sais, parfois, tu descends, et tu mange. Tu mange beaucoup, d’un coup, et ton estomac ne le supporte pas. Mais ne sens-tu donc pas la délivrance que ce geste te fait ressentir ? Je veux t’aider, et c’est moi qui te donne ces inspirations soudaine, ces envies de défier celle qui te met dans cet état. Mais aussitôt, tu retombe sous sa domination.

    Tu ne ressens plus rien, et tu fais encore plus horreur à ceux que tu croise, dans la rue, les gens qui te connaissent. Tu es devenu si maigre, qu’ils se demandent comment tu fais pour être encore debout. S’il savait la lutte acharnée que je livre pour que tu puisses seulement faire un pas de plus, pour que tu continue ton sport, et que tu garde assez de raison pour calculer tes fichus tables de calories. Je pourrais te laisser tomber, mais je refuse.
    Ah, tient, qu’est-ce qu’il y a ? Il fallait s’en douter, tu n’as plus de force. C’est normal, tu ne mange rien. Pourquoi pleures-tu, pourquoi gémis-tu ? C’est toi qui nous as infligés sa, après tout. C’est toi qui as rendu ton corps si maigre et si frêle qu’il ne peut plus supporter un pas.
    Mais ne t’inquiète pas, sa va s’arranger. Je vais t’aider, en te disant ce qu’il faut faire. Oh, pas à la manière d’Ana, elle, c’est du passer. Plus question de t’imposer quelque chose. Je te demande juste de manger à ta faim, et équilibré. Au départ, sa va être un peu dur. En effet, ce n’est pas facile de s’y remettre après autant d’abstention. Mais tout ira mieux. Tu retrouveras ces muscles, et ce petit tours de graisse’ qui faisait autrefois ta beauté. Oh, pas trop, je ne veux pas que tu deviennes énorme, mais juste assez, pour qu’il s’intéresse à nouveau à toi. Qui sa ? Mais voyons, ce garçon qui te regardait souvent. Tu ne le voyais pas, car il ne t’intéressait pas, toi. Tu ne voyais que ce que tu voulais voir, toi et Ana : des choses à perdre.
    Et quand il n’y a plus rien à perdre, c’est l’hôpital. Tu aurais put finir encore plus mal. Tu m’as fait mal, tu m’as fait peur. Mais je te pardonne, je t’ai toujours pardonné.
    Ah, et au cas où tu aurais oublié depuis le temps, je suis ton ancienne meilleurs amies, qui revient.
    Je me nomme Sophie, et mon nom signifie sagesse.

      La date/heure actuelle est Lun 20 Mai - 0:43